Suite de la série «Mystères et transcendance» consacrée à l’article de Jean-Claude Émériau paru dans la revue philosophique Matières à penser.
Le mystère du temps

Suite de la série «Mystères et transcendance» consacrée à l’article de Jean-Claude Émériau paru dans la revue philosophique Matières à penser.
Au Québec comme en France, en Belgique et ailleurs, le débat sur la laïcité continue de soulever les passions. C’est que ce principe et ses applications sont loin de faire l’unanimité! Si, toutes proportions gardées, relativement peu de gens s’opposeraient ouvertement de nos jours à la séparation de l’Église et de l’État, les divergences pleuvent à l’égard de questions comme celles qui entourent la liberté de conscience, le port de signes religieux ou les fameux accommodements dits «raisonnables».
Entretien entre Bhaktivedanta Swami et deux étudiants en philosophie venus entendre une de ses conférences alors qu’il était de passage à Boston, Massachusetts, le 23 décembre 1969.
Certains ne voient dans la spiritualité qu’un système de croyances dogmatique. Mais la science moderne, dont les détracteurs de la spiritualité se réclament, est-elle bien en mesure d’en juger?
Dans le premier volet de ce billet, nous avons vu que le jeune Ramanuja, assoiffé de bhakti, devait évoluer dans une société largement dominée par la pensée impersonnaliste, et que sa dévotion naturelle pour Vishnou avait même failli lui coûter la vie. Nous verrons maintenant comment il en est venu à établir que le monisme de Shankara relevait d’un entendement incomplet de l’Absolu.