Nous avons vu, dans le premier volet de cet article, que le Shrimad-Bhagavatam, le magistral commentaire de Vyasadéva sur le Védanta-sutra, prend le relais là où s’arrête la Bhagavad-gita afin d’élargir le spectre des connaissances en matière de spiritualité. Voyons maintenant ce qui le distingue de tous les autres écrits védiques.
Libre arbitre
Adapté de la préface à L’astrologie védique d’Andrée Leclerc, par Robert A. Koch, astrologue védique de renom et auteur de The Spiritual Dimensions of Vedic Astrology.
Les yeux du cœur (2/2)
Nous avons vu, dans le premier volet de cet article, que la foi ancrée dans la tradition avait peu à peu cédé le pas à la foi en la science, mais son histoire ne s’arrête pas là, et elle n’a de toute façon pas dit son dernier mot.
Transcendance
Un bien grand mot que celui-là. A priori plutôt abstrait, il a donné lieu à diverses interprétations au cours des siècles, et beaucoup l’emploient aujourd’hui un peu à toutes les sauces. La littérature védique y réfère cependant en des termes clairs qui permettent d’en mieux saisir les nuances.
Les gounas en action
Comment expliquer qu’un enfant soit casse-cou, brise-fer ou turbulent alors qu’un autre est naturellement calme, ordonné ou obéissant? Qu’une personne soit foncièrement malhonnête, cynique ou sans-gêne alors qu’une autre est plutôt généreuse, affable ou réservée? L’éducation, le milieu de vie et le contexte socio-économique, entre autres facteurs, conditionnent à n’en point douter nos acquis, et par le fait même nos attitudes et nos comportements. Mais avant l’acquis, il y a l’inné, c’est-à-dire la fibre même de chaque individu, sa nature première et ses tendances naturelles. Qu’est-ce donc qui explique que