Nous avons vu, dans le premier volet de cet article, que le Shrimad-Bhagavatam, le magistral commentaire de Vyasadéva sur le Védanta-sutra, prend le relais là où s’arrête la Bhagavad-gita afin d’élargir le spectre des connaissances en matière de spiritualité. Voyons maintenant ce qui le distingue de tous les autres écrits védiques.
Pure magie
Qui n’est pas fasciné par la magie? Nous avons beau savoir que les prestidigitateurs ne sont après tout que d’habiles illusionnistes, leurs exploits sont si crédibles que la frontière entre le réel et l’imaginaire semble momentanément s’estomper. Mais il est une magie plus grande encore, qui sans que nous soupçonnions le moindre tour de passe-passe, nous plonge dans une illusion telle qu’elle nous paraît être la seule vraie réalité.
Libre arbitre
Adapté de la préface à L’astrologie védique d’Andrée Leclerc, par Robert A. Koch, astrologue védique de renom et auteur de The Spiritual Dimensions of Vedic Astrology.
L’essence du savoir védique
Les Védas sont si vastes et leur structure est si inhabituelle pour un esprit occidental que tout étudiant, si sincère soit-il, aurait bien du mal à s’y retrouver sans l’aide d’un maître qualifié. Un judicieux résumé peut toutefois nous fournir les repères nécessaires à une meilleure compréhension d’ensemble de cette somme de savoir.
Invisible et précieuse quiétude
À l’aube de ce Nouvel An, je cède la parole à Satchinandana Swami, dont je traduis le message du jour, à même de combler les vœux les plus chers que l’on puisse s’offrir.