Les personnes plus à l’aise avec la langue de Shakespeare qu’avec celle de Molière peuvent maintenant satisfaire leur soif de connaissances védiques dans ma boutique.
Pour nos amis anglophones



Les personnes plus à l’aise avec la langue de Shakespeare qu’avec celle de Molière peuvent maintenant satisfaire leur soif de connaissances védiques dans ma boutique.
Cette expression si chère au Capitaine Bonhomme de mon enfance – comme de celle de milliers de baby-boomers – trouve écho dans tous les aspects de la vie. Y compris en spiritualité – n’en déplaise aux négationnistes –, et tout aussi bien en science, comme le souligne la biologiste Audrey Martel dans un article intitulé «Je suis une éternelle sceptique positive» d’abord publié sur le site du Jardinier paresseux et reproduit ici avec son aimable permission.

Le sanskrit distingue le savoir théorique (gyana) du savoir pleinement réalisé, ou appliqué (vigyana), et le récit qui suit illustre bien la différence entre les deux.

La série consacrée à l’épopée du Mahabharata racontée par Normand Vanasse se poursuit…

Suite de la série historique consacrée à la théorie de l’invasion aryenne, échafaudée dans le but de minimiser l’importance de la culture et des textes védiques.