Voici le premier volet d’une série consacrée à l’Isha Upanishad, l’Upanishad du Seigneur des seigneurs, considérée comme l’introduction par excellence à l’entendement de l’Absolu tel que décrit dans la littérature védique.
La reine des Upanishads

Voici le premier volet d’une série consacrée à l’Isha Upanishad, l’Upanishad du Seigneur des seigneurs, considérée comme l’introduction par excellence à l’entendement de l’Absolu tel que décrit dans la littérature védique.
Suite de la série historique consacrée à la théorie de l’invasion aryenne, échafaudée dans le but de minimiser l’importance de la culture et des textes védiques.
Nous avons vu, dans le premier volet de cet article, que le Shrimad-Bhagavatam, le magistral commentaire de Vyasadéva sur le Védanta-sutra, prend le relais là où s’arrête la Bhagavad-gita afin d’élargir le spectre des connaissances en matière de spiritualité. Voyons maintenant ce qui le distingue de tous les autres écrits védiques.
Diverses branches des Védas traitent de sujets allant de la médecine à l’astronomie et de la diplomatie aux arts martiaux. Aux chapitres de la philosophie et de la spiritualité, les écoles de pensée et les approches à la réalisation de soi y sont décrites en détail. Elles y sont en outre présentées suivant une gradation qui favorise une juste compréhension des jalons à franchir pour comprendre la Vérité absolue et atteindre la perfection de l’existence. Et il en va de même des textes conçus pour guider notre quête de savoir
S’il est un mot qu’on voit et qu’on entend plus souvent qu’à son tour lorsqu’il est question des Védas, de yoga, de méditation ou de réalisation spirituelle, c’est bien celui-là. Et ce n’est pas par hasard, car ce mot est particulièrement riche de sens, au propre comme au figuré. Il recouvre en effet une variété de réalités qui méritent d’être appréhendées de plus près.