Suite de la série consacrée à l’exploration de la conscience, de sa nature, de son siège et de sa fonction, de même qu’à l’état des connaissances et à la perspective des Védas en la matière.
Le mysticisme à la sauce védique



Suite de la série consacrée à l’exploration de la conscience, de sa nature, de son siège et de sa fonction, de même qu’à l’état des connaissances et à la perspective des Védas en la matière.

Suite et fin de la série «La reine des Upanishads».

Blague à part, il ne sera pas question ici de savoir si vous êtes plutôt tablette ou portable. Outre les plateformes électroniques, il y a aussi des plateformes pétrolières, des plateformes électorales, des plateformes de jeu et même des jeux de plateforme! Mais ce n’est pas de ça non plus qu’il s’agit. J’aimerais plutôt vous entretenir d’un tout autre type de plateforme à partir d’extraits d’une conférence de Bhaktivedanta Swami donnée à l’Université Northeastern de Boston au printemps 1969.

Depuis l’aube des temps, les Védas décrivent le culte du moi (ahankara en sanskrit) comme la source de tous nos maux, aussi bien individuels que collectifs. Les manifestations de l’égotisme sont innombrables, puisqu’il y en a autant que d’individus. Il arrive cependant, au gré des époques et des cultures, qu’elles s’agglomèrent et se cristallisent sous forme de courants idéologiques, comme le libéralisme, le conservatisme, le socialisme ou le communisme. Aujourd’hui, la mode est à l’individualisme, au wokisme et à l’absolutisme.

Suite de la série «La reine des Upanishads».