Suite de la série consacrée à l’exploration de la conscience, de sa nature, de son siège et de sa fonction, de même qu’à l’état des connaissances et à la perspective des Védas en la matière.
L’hypothèse de l’émergence

Suite de la série consacrée à l’exploration de la conscience, de sa nature, de son siège et de sa fonction, de même qu’à l’état des connaissances et à la perspective des Védas en la matière.
Suite de la série consacrée à l’exploration de la conscience, de sa nature, de son siège et de sa fonction, de même qu’à l’état des connaissances et à la perspective des Védas en la matière.
Suite de la série consacrée à l’exploration de la conscience, de sa nature, de son siège et de sa fonction, de même qu’à l’état des connaissances et à la perspective des Védas en la matière.
On dirait le titre d’une fable. Mais il n’en est rien. Quoique… Les Védas expliquent par le menu détail que la conscience procède de l’âme, sise dans la région du cœur, d’où elle rayonne dans le corps tout entier. La science prétend au contraire que la conscience n’est rien d’autre que l’activité électrobiochimique du cerveau. Qui dit vrai?
Depuis plus d’un demi-siècle maintenant, les recherches et les études sur la méditation se multiplient. La science s’intéresse d’ailleurs de plus en plus à ses effets sur la santé physique et mentale, aussi bien chez les enfants que chez les personnes âgées. Mais la science moderne étant ce qu’elle est, c’est-à-dire limitée à des données observables et mesurables au moyen de nos sens imparfaits et d’appareils eux-mêmes confinés aux limites de la matière, elle oblitère complètement l’objet premier et les bienfaits supérieurs de la méditation.